Accueil d'Observatoire des Libertés
En
1994 une loi – la "Loi Toubon" naissait, censée endiguer la
déferlante anglo-américaine. Naissance sous les quolibets. Mais voyons,
l'anglais étoffe le français ; il l'enrichit.
Trente ans plus tard, l'anglo-américain
n'étoffe plus, il finit d'étouffer, avec la "collaboration" active du
reniement de nos "élites" – gouvernants, médias, artistes etc. et
d'une jeunesse fort peu critique.
"On"
prêche le respect de la diversité (biosphère, sexes, par exemple). Mais on
refuse la diversité linguistique, laminée par le rouleau-compresseur d'une mono
langue. "On" bat sa coulpe pour l'ancienne pratique du colonialisme.
Mais on déroule le tapis rouge au colon anglo-américain et ses "valeurs".
"On" voue aux gémonies Pétain et sa clique… et l'on pactise avec
l'occupant sans y être contraint en rien. "On" applaudit les
identités – par exemple l'identité française – mais on renie son
porte-étendard, la langue française. "On" vante les valeurs de la Francophonie… mais le pays
central et principal acteur se vautre dans le bilinguisme…
Suivant la réussite d'une opération lancée en
octobre dernier par Observatoire des Libertés -
l'opération rencontra un gros succès médiatique, détaillé en seconde partie de
cette page (sous le trait rouge) - six associations de défense du français se
sont réunies pour créer le collectif "Oser le français".
Le 20 mars dernier ( confidentielle journée
dite de la langue française et de la Francophonie ), les membres du collectif déposaient 20 recours contentieux contre des organismes publics d'envergure
au moins nationale. L'opération s'intitulait "Justice pour la langue
française".
L'opération reçut un écho largement international. Voir ci-dessous, outre
les articles du Figaro (23 mars, et Internet 20 mars), le communiqué de
l'AFP et les liens vers quelques-uns parmi une trentaine de médias mondiaux -
thaï ou suédois, arabe ou vietnamien, espagnols ou italien, anglais (dont Le
Guardian et le Daily Telegraph) ou allemands, tchèque ou danois, roumain,
canadien, russe etc. Également présentées quelques copies d'écran des sites
reprenant l'AFP ou The Gardian, tous avec la même photo (Notre-Dame de Paris était
la "vedette" de nos procédures contentieuses).
En
1994 une loi – la "Loi Toubon" naissait, censée endiguer la
déferlante anglo-américaine. Naissance sous les quolibets. Mais voyons,
l'anglais étoffe le français ; il l'enrichit.
Trente ans plus tard, l'anglo-américain
n'étoffe plus, il finit d'étouffer, avec la "collaboration" active du
reniement de nos "élites" – gouvernants, médias, artistes etc. et
d'une jeunesse fort peu critique.
"On" prêche le respect de la diversité (biosphère, sexes, par exemple). Mais on refuse la diversité linguistique, laminée par le rouleau-compresseur d'une mono langue. "On" bat sa coulpe pour l'ancienne pratique du colonialisme. Mais on déroule le tapis rouge au colon anglo-américain et ses "valeurs". "On" voue aux gémonies Pétain et sa clique… et l'on pactise avec l'occupant sans y être contraint en rien. "On" applaudit les identités – par exemple l'identité française – mais on renie son porte-étendard, la langue française. "On" vante les valeurs de la Francophonie… mais le pays central et principal acteur se vautre dans le bilinguisme…
Suivant la réussite d'une opération lancée en
octobre dernier par Observatoire des Libertés -
l'opération rencontra un gros succès médiatique, détaillé en seconde partie de
cette page (sous le trait rouge) - six associations de défense du français se
sont réunies pour créer le collectif "Oser le français".
Le 20 mars dernier ( confidentielle journée dite de la langue française et de la Francophonie ), les membres du collectif déposaient 20 recours contentieux contre des organismes publics d'envergure au moins nationale. L'opération s'intitulait "Justice pour la langue française".
L'opération reçut un écho largement international. Voir ci-dessous, outre les articles du Figaro (23 mars, et Internet 20 mars), le communiqué de l'AFP et les liens vers quelques-uns parmi une trentaine de médias mondiaux - thaï ou suédois, arabe ou vietnamien, espagnols ou italien, anglais (dont Le Guardian et le Daily Telegraph) ou allemands, tchèque ou danois, roumain, canadien, russe etc. Également présentées quelques copies d'écran des sites reprenant l'AFP ou The Gardian, tous avec la même photo (Notre-Dame de Paris était la "vedette" de nos procédures contentieuses).
«Pass my Provence», «Let's Cagnotte» : la croisade du collectif «Oser le français» contre les anglicismes dans l'espace public
00:00/03:58
Le «Pass my Provence» lancé par le département des Bouches-du-Rhône. Le Figaro / Adobe Stock / My Provence
Avec l'opération «Justice pour la langue française», L'Observatoire des Libertés et quatre associations dénoncent une utilisation excessive de l'anglais dans la communication de certains organismes publics et municipalités.
En ce 20 mars, Journée internationale de la Francophonie, voici l'opération «Justice pour la langue française». Une «deuxième salve de vingt procédures contentieuses», après celle de cet automne, lancée par l'Observatoire des Libertés, qui a depuis reçu le renfort de quatre associations de défense de la langue française. Constitués en un collectif, «Oser le français», ces amoureux de la langue de Molière travaillent également à la constitution d'un «groupe de réflexion», avec des parlementaires de tous horizons politiques, dans le but de rendre la loi Toubon plus contraignante.
Voté en 1994 pour protéger le patrimoine linguistique français, le texte dispose, dans son article 3, que «toute inscription ou annonce sur la voie publique, dans un lieu ouvert au public ou dans un moyen de transport en commun, et destinée à l'information du public, doit être formulée en langue française».
À lire aussiLa justice saisie pour anglicismes dans l’espace public
Comme en octobre, sont dans le viseur du collectif «Oser le français» des municipalités et des organismes publics. L'Hôtel de Ville de Paris, par exemple, à l'initiative du «Hacking», un événement qui s'est tenu le 21 septembre dernier, et qui proposait notamment un «start-up meetup» et un «demospace» pour les entrepreneurs innovants. Le Département des Bouches-du-Rhône, opérateur du «Pass my Provence». Des établissements publics d'enseignement supérieur, comme l'Institut d'administration des entreprises (IAE) de Paris, qui a accolé «Sorbonne business school» à son nom. Ou encore le groupe La Poste et sa «French bank» (la banque 100 % digitale de La Banque Postale), qui offre des services comme «We Partage» et «Let's Cagnotte». Dans son French Mag, on peut lire : «ça nous fait méga chaud au cœur de voir tous ces petits Frenchs». Et sa «team d'experts» a imaginé le «Compte WeStart», pour que l'ado ait «son argent toujours en live»...
Est-ce ringard de défendre la langue de la précision, de l'humanisme, de l'éthique et de l'esthétique ? »
Louis Maisonneuve, président de l'Observatoire des Libertés
À la «French Bank», on assume : «On s'inscrit complètement dans l'élan du 'Made in France' qui porte haut et fort le patrimoine et le savoir-faire français, se justifie-t-on. Ma French Bank a souhaité s'intégrer dans le mouvement de la 'French Tech' et utiliser les codes de la 'French Touch' en mélangeant français et une pointe d'anglais tout en restant sur des termes accessibles. Destiné aux 12-17 ans, WeStart découle logiquement de l'univers qui a été créé autour de Ma French Bank : une touche de connivence, un vocabulaire approprié à la cible, le 'We' qui symbolise la relation entre les parents et les ados et le 'Start' pour le premier vrai compte bancaire qu'ils utiliseront».
La ministre de la culture remettant un «French cinema award», les pompiers de Clermont-Ferrand baptisant un concours de «rope climbing» (grimper de corde), ou même les Bretons charismatiques conviés au «Jesus'Day»... Ces «irritations insupportables» comme il les appelle, Louis Maisonneuve, président de l'Observatoire des Libertés, en subit tous les jours. «Et jusqu'au sommet de l'État, soupire-t-il, comme lorsque le président Macron, en déplacement à l'étranger, s'exprime 'dans la langue d'usage (international), l'anglais'». «L'esprit qui nous anime dépasse le seul critère linguistique, complète-t-il. Bien évidemment nous indigne la dégénérescence d'une langue, pourtant riche en nuances, capable de réduire à 'my' des pronoms différenciés, mon, ma, mes ; de substituer à 'par' ou 'selon' le vocable 'by' ; de fondre en un seul mot, 'casting', deux sens différents – audition et distribution. Une langue qui ne choisit plus entre 'nec plus ultra', 'florilège', 'le meilleur de', pour s'avachir devant le 'best of'. On peut nous lancer que c'est un combat ringard, mais est-ce ringard de défendre la langue de la précision, de l'humanisme, de l'éthique et de l'esthétique ?»
Le «Pass my Provence» lancé par le département des Bouches-du-Rhône. Le Figaro / Adobe Stock / My Provence
Avec l'opération «Justice pour la langue française», L'Observatoire des Libertés et quatre associations dénoncent une utilisation excessive de l'anglais dans la communication de certains organismes publics et municipalités.
En ce 20 mars, Journée internationale de la Francophonie, voici l'opération «Justice pour la langue française». Une «deuxième salve de vingt procédures contentieuses», après celle de cet automne, lancée par l'Observatoire des Libertés, qui a depuis reçu le renfort de quatre associations de défense de la langue française. Constitués en un collectif, «Oser le français», ces amoureux de la langue de Molière travaillent également à la constitution d'un «groupe de réflexion», avec des parlementaires de tous horizons politiques, dans le but de rendre la loi Toubon plus contraignante.
Voté en 1994 pour protéger le patrimoine linguistique français, le texte dispose, dans son article 3, que «toute inscription ou annonce sur la voie publique, dans un lieu ouvert au public ou dans un moyen de transport en commun, et destinée à l'information du public, doit être formulée en langue française».
À lire aussiLa justice saisie pour anglicismes dans l’espace public
Comme en octobre, sont dans le viseur du collectif «Oser le français» des municipalités et des organismes publics. L'Hôtel de Ville de Paris, par exemple, à l'initiative du «Hacking», un événement qui s'est tenu le 21 septembre dernier, et qui proposait notamment un «start-up meetup» et un «demospace» pour les entrepreneurs innovants. Le Département des Bouches-du-Rhône, opérateur du «Pass my Provence». Des établissements publics d'enseignement supérieur, comme l'Institut d'administration des entreprises (IAE) de Paris, qui a accolé «Sorbonne business school» à son nom. Ou encore le groupe La Poste et sa «French bank» (la banque 100 % digitale de La Banque Postale), qui offre des services comme «We Partage» et «Let's Cagnotte». Dans son French Mag, on peut lire : «ça nous fait méga chaud au cœur de voir tous ces petits Frenchs». Et sa «team d'experts» a imaginé le «Compte WeStart», pour que l'ado ait «son argent toujours en live»...
Est-ce ringard de défendre la langue de la précision, de l'humanisme, de l'éthique et de l'esthétique ? »
Louis Maisonneuve, président de l'Observatoire des Libertés
À la «French Bank», on assume : «On s'inscrit complètement dans l'élan du 'Made in France' qui porte haut et fort le patrimoine et le savoir-faire français, se justifie-t-on. Ma French Bank a souhaité s'intégrer dans le mouvement de la 'French Tech' et utiliser les codes de la 'French Touch' en mélangeant français et une pointe d'anglais tout en restant sur des termes accessibles. Destiné aux 12-17 ans, WeStart découle logiquement de l'univers qui a été créé autour de Ma French Bank : une touche de connivence, un vocabulaire approprié à la cible, le 'We' qui symbolise la relation entre les parents et les ados et le 'Start' pour le premier vrai compte bancaire qu'ils utiliseront».
La ministre de la culture remettant un «French cinema award», les pompiers de Clermont-Ferrand baptisant un concours de «rope climbing» (grimper de corde), ou même les Bretons charismatiques conviés au «Jesus'Day»... Ces «irritations insupportables» comme il les appelle, Louis Maisonneuve, président de l'Observatoire des Libertés, en subit tous les jours. «Et jusqu'au sommet de l'État, soupire-t-il, comme lorsque le président Macron, en déplacement à l'étranger, s'exprime 'dans la langue d'usage (international), l'anglais'». «L'esprit qui nous anime dépasse le seul critère linguistique, complète-t-il. Bien évidemment nous indigne la dégénérescence d'une langue, pourtant riche en nuances, capable de réduire à 'my' des pronoms différenciés, mon, ma, mes ; de substituer à 'par' ou 'selon' le vocable 'by' ; de fondre en un seul mot, 'casting', deux sens différents – audition et distribution. Une langue qui ne choisit plus entre 'nec plus ultra', 'florilège', 'le meilleur de', pour s'avachir devant le 'best of'. On peut nous lancer que c'est un combat ringard, mais est-ce ringard de défendre la langue de la précision, de l'humanisme, de l'éthique et de l'esthétique ?»
Après la tour Eiffel, les défenseurs du français visent Notre-Dame
Liens vers certains sites étrangers
https://thematter.co//brief/199742/199742
https://www.agi.it//estero/news/2023-03-21/cartelli_inglese_notre_dame_citata_in_giudizio-20602699/
https://www.dailytelegraph.com.au//news/breaking-news/notredame-sued-for-englishonly-translations/news-story/bd157caaf1fc3b495de22fb2374804a7
https://www.novinky.cz/clanek/koktejl-aktiviste-si-stezuji-na-notre-dame-vadi-jim-preklady-jen-do-anglictiny-40426659
https://www.telam.com.ar/notas/202303/623014-torre-eiffel-castellano-idioma-carteles.html
https://www.theguardian.com/world/2023/mar/22/french-language-activists-sue-over-notre-dame-signs
https://www.news.com.au/breaking-news/notredame-sued-for-englishonly-translations/news-story/bd157caaf1fc3b495de22fb2374804a7
https://www.9111.ru/questions/7777777772530380/
___________________________________________________________________________________________
https://www.novinky.cz/clanek/koktejl-aktiviste-si-stezuji-na-notre-dame-vadi-jim-preklady-jen-do-anglictiny-40426659
https://www.telam.com.ar/notas/202303/623014-torre-eiffel-castellano-idioma-carteles.html
https://www.theguardian.com/world/2023/mar/22/french-language-activists-sue-over-notre-dame-signs
https://www.news.com.au/breaking-news/notredame-sued-for-englishonly-translations/news-story/bd157caaf1fc3b495de22fb2374804a7En novembre 2022, nous déclenchions dix actions contentieuses, visant dix organismes publics de renommé nationale ou mondiale. Toutes coupables d'infraction à la loi du 4 août 1994, dite "Loi Toubon". Ci-après "The Times", Le Figaro, Nice-Matin. Trois télés (dont JT 20 h TF1), des médias grec, ukrainien, anglais, espagnol, allemand, etc - quelques liens ci-après :
Pour les passages télés, utiliser les liens suivants
https://www.tf1info.fr/societe/video-y-a-t-il-trop-d-anglicismes-dans-les-villes-francaises-2238877.html
Pour d'autres médias, papier ou Internet, utiliser
https://tribunedelyon.fr/justice/fete-des-lumieres-game-of-lights-la-justice-saisie-pour-anglicismes-dans-lespace-public/
https://actu.orange.fr/question-du-jour-2022-11-17-CNT000001USq55.html
https://www.eurointegration.com.ua/rus/news/2022/11/17/7150826/
https://news.eseuro.com/noticias/1166334.html
Le Figaro (texte affiché plus bas)
Liens vers certains sites étrangers
https://thematter.co//brief/199742/199742
https://www.dagbladet.no//nyheter/fransk-sprakkrangel-om-notre-dame/78827433
https://www.sn.at//panorama/international/notre-dame-wegen-englischer-informationstafeln-geklagt-135918190
https://tuoitre.vn/nha-tho-duc-ba-paris-bi-kien-vi-chi-dich-bien-chi-dan-sang-tieng-anh-20230322170307714.htm
https://www.agi.it//estero/news/2023-03-21/cartelli_inglese_notre_dame_citata_in_giudizio-20602699/
https://www.novinky.cz/clanek/koktejl-aktiviste-si-stezuji-na-notre-dame-vadi-jim-preklady-jen-do-anglictiny-40426659
https://www.telam.com.ar/notas/202303/623014-torre-eiffel-castellano-idioma-carteles.html
https://www.theguardian.com/world/2023/mar/22/french-language-activists-sue-over-notre-dame-signs
https://www.news.com.au/breaking-news/notredame-sued-for-englishonly-translations/news-story/bd157caaf1fc3b495de22fb2374804a7
https://www.9111.ru/questions/7777777772530380/
https://www.dailytelegraph.com.au//news/breaking-news/notredame-sued-for-englishonly-translations/news-story/bd157caaf1fc3b495de22fb2374804a7
https://www.novinky.cz/clanek/koktejl-aktiviste-si-stezuji-na-notre-dame-vadi-jim-preklady-jen-do-anglictiny-40426659
https://www.telam.com.ar/notas/202303/623014-torre-eiffel-castellano-idioma-carteles.html
https://www.theguardian.com/world/2023/mar/22/french-language-activists-sue-over-notre-dame-signs
https://www.news.com.au/breaking-news/notredame-sued-for-englishonly-translations/news-story/bd157caaf1fc3b495de22fb2374804a7https://www.dailytelegraph.com.au//news/breaking-news/notredame-sued-for-englishonly-translations/news-story/bd157caaf1fc3b495de22fb2374804a7
Dans son édition dominicale du 16 juin 2019, le quotidien Le Parisien publiait intégralement le manifeste rédigé par OdL à l'intention du Président de la République. 100 intellectuels, artistes ou personnalités de 25 pays lui demandaient de cesser son oeuvre de fossoyeur de la langue française.
Le texte figure ici https://www.leparisien.fr/societe/defense-de-la-langue-francaise-100-signatures-pour-refuser-la-dictature-du-tout-anglais-16-06-2019-8094285.php
On le trouve aussi, plus aisé à lire, en cliquant sur l'image en bas à gauche de notre page d'accueil. Voici également quelques liens : https://www.lefigaro.fr/langue-francaise/francophonie/francophonie-cent-personnalites-appellent-macron-a-lutter-contre-le-tout-anglais-20190617 https://www.ledevoir.com/societe/556861/un-manifeste-demande-la-protection-le-francais-contre-le-colonialisme-anglo-americain https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/appel-des-100-pour-refuser-la-215939 https://www.europe1.fr/international/francophonie-appel-des-cent-contre-le-colonialisme-anglo-americain-3904875
Une trentaine de médias du monde entier (et la BBC en premier !) se firent l'écho de notre démarche. Qui bien entendu nous valut une réponse inepte de l'Élysée, sur le mode "Tout va très bien, Madame la Marquise"